Interstella 5555
Quatre musiciens d'une autre galaxie sont kidnappés par un manager maléfique qui veut en faire le plus grand groupe sur Terre. Quand la musique des Français de Daft Punk rencontre les dessins de Leiji Matsumuto, historique et mythique créateur d'Albator.
SOIRÉE GRATUITE RÉSERVÉE AUX ADHÉRENTS // Le Dietrich se transforme en l'espace d'une soirée en ciné night-club. Après la séance, nous vous proposons de terminer la soirée en musique dans la salle pour rester dans l'ambiance festive et entraînante du space-opéra musical Interstella 5555.
Possibilité d'adhérer le soir-même.
Film diffusé dans le cadre de la Fête du cinéma d'animation. La Fête du cinéma d'animation est un événement national mis en place par l'AFCA. Pour cette 10e édition, nous avons choisi de faire la part belle à la japanimation et à la pratique amateur du cinéma d'animation avec le collectif Minestrone.
Chaque long-métrage d'animation sera accompagné d'un court réalisé par Minestrone, collectif de structures de Poitou-Charentes réunies par la volonté de mettre en valeur et de développer la pratique amateur du cinéma d'animation. Le champ d'intervention du collectif est la mise en place et l'encadrement d'ateliers, la valorisation des films réalisés dans ces ateliers et le soutien technique et humain aux jeunes réalisateurs. Vous pouvez trouver le détail de cette programmation sur minestroneateliers.wordpress.com
Le collectif Minestrone c'est : Le Carré Amelot à La Rochelle ; le CIBDI, l'EMCA (école des Métiers du Cinéma d'Animation), Okaou Animations et l'école d'arts plastiques à Angoulême ; le cinéma les 400 Coups à Châtellerault ; le cinéma Le Dietrich, la MJCAA (Passeurs d'images), l'association Nyktalop Mélodie et le Lieu multiple à Poitiers.
Critiques
"Un dessin animé "musical" imaginé par les Daft Punk parallèlement à l'écriture de l'album Discovery : un rêve d'enfants bourré d'idées et d'émotions. (...) Interstella 5555 (sous-titré "The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem") ne contient aucun dialogue puisque la bande-son se résume aux quatorze titres de l'album Discovery, ni plus ni moins, mais les informations défilent à la vitesse de la lumière et il faut s'accrocher pour suivre les méandres d'un scénario plus compliqué que prévu. On redécouvre l'album, dense, inspiré, plein de relief. Et l'on apprécie que l'animation ait fait des progrès depuis le minimum syndical de certains plans de Goldorak ou de Candy avec fonds immobiles pendant des plombes. Ça fourmille de détails et d'idées : il faudra forcément le revoir."
