![](http://www.le-dietrich.fr/sites/default/files/styles/vignette208pixels/public/le-dietrich/films/vignettes/braquer-poitiers.jpg?itok=2vjwPj-c)
Braquer Poitiers
Deux pieds nickelés, Francis et Thomas prennent en otage et rackettent Wilfrid, propriétaire d’une station de lavage auto à Poitiers. Contre toute attente, celui-ci se montre ravi de cette compagnie venant égayer sa vie solitaire, et les autorise à piquer dans la caisse. Il se plaît même à théoriser amplement, tandis que la perplexité gagne les deux compères, bientôt rejoints par leurs amies venues du Sud.
Info de dernière minute : pour la dernière séance du film BRAQUER POITIERS, Wilfrid Ameuille (acteur et co-producteur du film) nous fera l'honneur de venir dir quelques mots avant le film.
Critiques
Entre Groland, Buñuel et Stévenin, Claude Schmitz crée un univers subtilement déconcertant, très cocasse, spéculatif aussi. En deçà de l’humour lent fleurissent toutes sortes d’élucubrations lumineuses sur l’oisiveté, le travail, la valeur des choses, le besoin d’autrui ou l’enfer qu’il engendre. Dans ce repli de l’aboulie surgissent par instants des éclats de beauté. www.telerama.fr
Cela se passe à Poitiers, mais c’est pourtant bien d’un film belge qu’il s’agit. Une œuvre étrange mais diablement attachante. […] Tout le film est ainsi : il puise dans l’improbable pour en tirer un résultat moins loufoque que poétique, où le réalisateur se joue des archétypes (les gros durs, les filles d’apparence légère…) pour mieux montrer que les relations les plus belles sont les plus inattendues. www.artistikrezo.com
Claude Schmitz suit le braquage loufoque d’un car-wash poitevin par deux pieds-nickelés belges. Tourné en quelques jours sans aucun scénario, ce film hilarant interpelle par son approche documentaire et par son personnage principal, Wilfrid, propriétaire nonchalant et philosophe de ce centre de nettoyage auto paumé. Un étonnant dispositif de cinéma, hors-système évidemment et comme on les aime, tellement. www.fichesducinema.com